Ca tombe a pique

Ikea

 Entre la vie et la mort autant choisir le Joker

CHANGEMENT EN COURS....

Changement en cours dans la ville de San Francisco. Pour commencer une bonne soirée il faut une musique ou plutôt une playlist, de préférence de mon adolescence du genre Evanescance, du coca, et un fils absent envoyer au cinéma de force. J'ai acheter de nouveau meuble. Je suis plus doué que Marius pour la construction de meuble mais j'avoue que le genre " Ikea " c'est souvent un casse tête. Alors je me détend sans m'énerver ou exploser quelques chose de neuf. Je parviens a faire un meuble le seul problème c'est d’où vient ce boulon ? Tant pis ! je le mets avec les " surplus " que j'oublie à mettre ou tout simplement les petits plus qu'on rajoute très souvent. Je prend le carton qui paix à son âme est dans un état pitoyable. Dans la cours de devant un vent glacial ce lève. Je sais de source sur, que dans cette ville rien est sans rien. Je reste quelques secondes ou minutes car je vois une femme sortir d'un endroit. Elle est comme endormi d'après son attitude, portant des vêtements de jour, elle avance mais d'une manière bien défini. On dirai qu'elle regarde quelques chose, un événement invisible. Je me penche puis je m'appuie sur une des barrières, sans le savoir je suis face a la terreur de l'an passé, Samantha volume 2. L'ennemie d’Évidence ou ex ennemie tout cours d'autre personnes.

Quand elle me dépasse et aussi fou que ça puisse paraître, je rentre dans ça bulle délirante. De nuit je passe en journée, elle est là dans les mêmes vêtements, mais rien est normal. Je me remet droit et sort carrément de chez moi, regardant autour je remarque beaucoup de cendre tomber sur moi ainsi que partout. Brûlant les feuilles des arbres, un peu les habilles ainsi que tout ce qui pourrait prendre feu. Je suis alors la fille, je compris que maintenant qu'elle peut voit un avenir comme beaucoup ici très très dangereux puisqu'elle peut ce faire attaquer puisqu'elle est vulnérable. Elle s'arrête face a une scène très perturbante. Des cartes qui brûle. Je ramasse une qui est au sol, c'est l'AS de trèfle. La jeune déesse se tourne vers moi et sourit sans rien dire. Maintenant qu'elle connaît ma présence, elle me fait comprendre de regarder l'homme qui sort de l'ombre. Alejandro. Il as quelques blessure a première vu. Il s'arrête devant moi et me frappe d'un coup de poing en criant " réveil toi " ce que je fais d'un coup sur mon canapé, en sursaut ! je remarque qu'il y ai plus rien autour de moi, cendre, fille étrange... que je vis ici depuis déjà deux mois, que mes meubles sont déjà construit. La seul chose de vrai c'est que mon fils et Van sont aux cinéma. Je fini par me lever et par en direction de la cuisine ou je me réveil avec de l'eau sur le visage.

Je déteste ça !

Je lève le regard vers la fenêtre pour reprendre un peu mes esprits doucement. Mon visage passe du mec carrément pas tranquille, a celui qui commence a réalisé que c'était un foutu cauchemar a un mec qui se demande si c'était pas vrai... puisqu'il se passe un phénomène étrange dehors. Il neige ? j'en doute. Je sors par la porte de la cuisine, directement dans un morceau du jardin et regarde autour.

De la cendre...

Je vérifie en ramassant un morceau qui se décompose entre mes doigts. Je décide de prendre l'allée vers la cours et la scène est plus ou moins pareille, sans la fille étrange, dans la nuit avec des petits morceau de feu volant autour de moi. Je sors dans la rue et vois alors une silhouette qui lance une carte. Celle ci parcours plusieurs mètre, on dirai Yu Gi Ho ! arrive à mes pieds. 4 de carreau.

Champion accepte ce défit !
Un défit ? de quoi... taré lui ! non je le ferais jamais, je suis pas une carte
Pense-tu ?!

Quand il dit ses mots là, une carte apparaît dans ma main, l'AS de trèfle. Comme un jeu " Jumanji " je reçois toute les informations d'un jeu tordu. J'ai plusieurs capacité ajouter dans mon comportement est une faiblesse : être humain. Je me sens pousser des ailes d'un coup, c'est l'effet de la carte, elle est lancer vers lui pour accepté le duel. Je voulais pas mais je suis pousser a le faire. Je m'avance, lui, semble avoir aucune arme et moi non plus.